Y-a-t-il des échanges entre les vivants et les morts ?

« Tout ceci est exact, car l’homme est une masse de perceptions obscures dont il n’a pas conscience, de sentiments indéfinis et d’émotions incomprises, de souvenirs et de connaissances oubliées à jamais qui deviennent simplement ignorance à la surface de ce plan. Mais bien que la mémoire physique d’un homme sain soit souvent obscurcie, un fait en chassant un autre moins vivace, lorsqu’arrive ce grand changement que l’homme appelle la mort, ce que nous nommons  » la mémoire  » semble nous revenir dans toute sa force et sa netteté. Cahier Théosophique 139, La mémoire chez les mourants »