H.P. BLAVATSKY et le Jour du Lotus Blanc

« Ce que les hommes appellent la mort n’est qu’un changement d’habitat pour l’Ego, une simple transformation : l’abandon momentané de l’enveloppe mortelle, une courte période de repos avant de reprendre un autre corps humain dans le monde des mortels. Le Seigneur de ce corps ne porte pas de nom ; résidant dans de nombreuses demeures d’argile, il paraît aller et venir, mais ni la mort ni le temps n’ont d’influence sur lui, car il est immortel, immuable et pur, au-delà du Temps lui-même, et ne peut être mesuré. Ainsi, notre vieille amie et collègue n’a fait que disparaître momentanément à nos yeux, mais elle n’a pas abandonné le travail commencé depuis des âges : l’élévation de l’humanité, la destruction des entraves qui enchaînent le mental humain. » Cahier Théosophique n°82 Une collègue au cœur de lion disparait, W.Q. Judge